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Jean de Florette et Manon des Sources, adaptés au cinéma en 1986 par le regretté Claude Berri à partir des romans de Marcel Pagnol (1962), mettent tous deux en vedette la Provence ensoleillée et Daniel Auteuil. Cette fois, l’acteur tient non seulement la tête d’affiche mais il réalise aussi cette nouvelle version de LA FILLE DU PUISATIER de Pagnol, grande histoire d’amour et de guerre sur fond d’inégalités sociales.
Auteuil incarne Pascal Amoretti, dont la fille Patricia (la ravissante nouvelle venue Astrid Bergès-Frisbey) est follement amoureuse d’un bel aviateur, Jacques Mazel (Nicolas Duvauchelle). Leur liaison est de courte durée : le jeune homme doit partir à la guerre. Patricia se découvrant enceinte, le père Amoretti et ses six filles tentent d’aborder les parents bien nantis de Jacques. Mais les Mazel ne veulent rien entendre, et craignent que ces vulgaires campagnards les fassent chanter. Lorsque Jacques est porté disparu et après la naissance de l’enfant, les Mazel acceptent enfin un rapprochement, et comprennent un peu tard toute la joie qu’un petit-fils peut procurer.
Kad Merad se glisse brillamment dans la peau du contremaître de Pascal, personnage comique autrefois interprété par Fernandel. Sous les traits des bourgeois Mazel, Jean-Pierre Darroussin et Sabine Azéma complètent l’impressionnante distribution. LA FILLE DU PUISATIER a recueilli près de 1,5 millions d’entrées en France en 2011.
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