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Syd March travaille pour une compagnie qui vend des injections de virus de stars malades pour ceux cherchant à partager les maladies de leurs idoles. Avec cette possibilité de communion biologique, Syd arrondit ses fins de mois. Il a pris l’habitude, en effet, de s’injecter clandestinement les virus pour aller les vendre aux plus offrants. Suivant l’injection de celui qui a tué la super célébrité Hannah Geist, il se retrouve traqué par de dangereux fans, harcelé par plusieurs groupes criminels. Mais que peut bien cacher la mort de la star...
Avec le très attendu Antiviral , Brandon Cronenberg (fils de David) reprend là où son père s’était arrêté, vers la fin des années 80. Ce vide n’ayant jamais été comblé, il y a de quoi se réjouir, autant pour le cinéma canadien que pour le cinéma de genre. Un film malade et contagieux qui va derrière la chair pour parler de sexualité transgressive, du phénomène des stars à l’heure de la paranoïa et des épidémies. Un premier film exemplaire pour son originalité et ses audaces. À en juger aux bousculades lors de sa présentation au Festival de Cannes, il était clairement, là-bas, le film que tous voulaient voir. Précédé de la performance Ana par Ouananiche — Julien Fonfrède
“ …consistently opts for grisly dark comedy over horror-thriller tension, a strategy that does pay off with a certain gruesome logic in the film’s nightmarish final image.” — Variety
Meilleur Premier Film Canadien au Festival International du Film de Toronto 2012
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