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« Imperfection is in some sort essential to all that we know of life. [...] in all things that live there are certain irregularities and deficiencies which are not only signs of life, but sources of beauty.»
Si un siècle ne les séparait pas, Aliocha et l’auteur de ces lignes, John Ruskin, parleraient d’une même voix. Puisque c’est bien de cette «humanité» génératrice de beauté dont Aliocha se réclame. Celle-là même qui jaillit des titres de Bob Dylan et d’Eliott Smith, de Lennon et de Nick Drake; une audible et poignante «imperfection» qui en a fait, jeune, un autodidacte fuyant la froideur du standard, le faux brillant du «normalisé».
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