Inscrivez-vous
Des offres exclusives et événements gratuits
Note: ouverture de portes à 19h30.
Band of Skulls est à Montréal pour présenter son nouvel opus "Sweet Sour". Le groupe britannique qui a accompagné les Black Keys lors de leur dernière tournée au Royaume-Uni est de retour en Amérique du Nord pour faire la promotion de son deuxième album, produit par Ian Davenport (Supergrass, Badly Drawn Boy) et mixé par Nick Launay (Yeah Yeah Yeahs, Arcade Fire, Grinderman).
À propos de Band of Skulls:
Octobre 2010, le Forum de Londres. C’est par un concert à guichets fermés que Band of Skulls, originaire de Southampton en Angleterre, met fin à deux ans de tournée ininterrompue. Durant cette période, le groupe a parfait son art : les mélodies accrocheuses sont plus envoûtantes, le son plus puissant et plus brut que jamais : « Nous pensions que notre premier album (Baby Darling Doll Face Honey), sorti en 2009, serait un petit disque bien intime », raconte le chanteur et guitariste Russell Marsden, derrière ses grands verres fumés, « mais ça a pris une ampleur inattendue, nous amenant à jouer partout dans le monde ». Le concert au Forum clôt un chapitre de l’histoire du jeune groupe rock.
En janvier 2011, ses récents succès en main, le trio revient en studio à Southampton, lieu de genèse de son premier album. Marsden, Hayward et Richardson, tous à la fois auteurs et compositeurs, font preuve d’une complicité exceptionnelle et les idées fourmillent et prennent forme rapidement, donnant naissance à des chansons plus intenses pour de plus grandes scènes et de plus grandes foules.
Quand la formation met les pieds au légendaire studio Rockfield, au Pays de Galles, elle se sent déjà prête à faire entendre son nouveau matériel. Profitant d’une pause durant l’enregistrement, le groupe organise une mini-tournée aux États-Unis.
La réponse est électrifiante, littéralement : lors du spectacle au Beachside Festival de San Diego, un fan se démène tellement durant la nouvelle chanson You’re Not Pretty But You’ve Got It Going On, que les policiers lui administrent une décharge de pistolet électrique pour le calmer : « Il devait s’éclater un peu trop, j’imagine! », lance Richardson, « C’était très intense. »
Vous devez être connecté pour donner un avis.
Connectez-vous ici.