Sept ans après le lancement de l’album Dund, réalisé avec son frère en 2003, Élage Diouf nous présente Aksil, son premier projet solo. Cet album est principalement composé d’oeuvres interprétées en wolof, la langue maternelle d’Élage. 

Marqué par ses nombreuses collaborations musicales depuis son arrivée au Québec en 1996 – notamment avec Les Colocs et Ariane Moffatt – de même que par sa participation musicale au spectacle Délirium du Cirque du Soleil, qui l’a mené aux quatre coins de la planète de 2006 à 2008, Élage Diouf nous offre sur cet album un savant mélange de traditions musicales sénégalaises et d’influences internationales.  

Les percussions sénégalaises y côtoient les percussions brésiliennes, tout comme le français, l’anglais et l’espagnol y rejoignent le wolof. Il s’agit d’un album créé sous le thème de l’ouverture. Le titre, Aksil, est d’ailleurs un mot wolof qui signifie ouverture, bienvenue, entrez. Imaginez qu’on cogne à la porte; au Sénégal, on vous répondrait « Aksil », avec tout ce que cela implique d’ouverture d’esprit, du plaisir de découvrir et d’apprécier l’autre. 

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