En 2010, Eli et Papillon décident de partager leur musique sur le Web. Leurs premières maquettes ne perdent pas de temps à séduire les mélomanes d’un peu partout dans le monde. 

Plus de 3 500 unités des démos offerts sur iTunes trouvent preneurs, tandis que plusieurs radios Web, universitaires et communautaires leur offrent une tribune de choix. 

Grâce au bouche-à-oreille, de nombreux blogueurs et des décideurs de l’industrie de la musique prêtent attention aux mélodies irrésistibles du tandem. 

L’année suivante, Eli et Papillon commencent à donner des petits spectacles dans des cafés de quartier et ils se dénichent une place dans la grille horaire du 25e Coup de cœur francophone. 

Le premier album du duo est attendu pour le printemps 2012, sous l’étiquette Maisonnette. Des débuts prometteurs, certes, mais il ne fait pas de doute que le meilleur est à venir. 

www.elietpapillon.bandcamp.com 

DAS 

das est formé en 2009 par l’auteur-compositeur-interprète Philippe da Silva-Éthier. Le sextuor possède une section rythmique solide, une dynamique section de cuivres et fait de la chanson rock-folk-pop francophone flirtant parfois avec le jazz et le reggae. 

À l’été 2011, la formation enregistre son premier album intitulé Armé d’un rêve, un opus de 12 chansons entièrement autoproduit. Le but du projet ? Faire découvrir le plaisir entourant la musique, que ce soit dans sa composition, son arrangement ou son interprétation. 

Avec les différentes expériences acquises au fil des jours, das vise à continuer de se produire en spectacle et projette d’enregistrer d’autres albums afin de rejoindre par sa musique le plus grand nombre de personnes. 

www.dasmusique.com 

Du blogue La Bible urbaine 

La formation Das est le point de départ d’un rêve devenu réalité en 2009. L’auteur-compositeur-interprète Philippe da Silva-Éthier, en compagnie de cinq musiciens, s’est produit dans diverses salles du Québec et c’est finalement à l’automne 2011 qu’il a donné naissance à Armé d’un rêve, un premier album entièrement autoproduit. Pour la critique complète, visitez le blogue La Bible urbaine: labibleurbaine.com