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Duo montréalais qui nous fait voyager dans une musique folk intimiste teintée de rock aux voix magnifiques et aux arrangements travaillés.
Donnant suite à un encensé premier EP et à un Grand Voyageur salués, les Montréalais de Fire/Works élèvent leur jeu d’un cran et révèlent un deuxième long jeu, Shenanigans, un 12 titres originaux sous l’étiquette Coyote Records.
L’univers en est un profond, dense et aspirant, où coexistent nuit et jour; fait d’harmonies vocales éthérées et d’instrumentations riches, où les mélodies parlent et où les mots chantent. Pur et honnête. L'œuvre, elle, est sincère, orageuse, habité par un folk beau, brûlant et distordu. Et l'on en vient vite s'attacher au morceau et à l'ensemble, à l’automnale et noctambule «Underneath Your Skin» en ouverture, aux envolées de «The Japanes One» et «Elephants», ou encore aux orchestrations émancipatrices de «Ruins Ruins», «Folklore» et «Ancestor’s Shadow».
Fire/Works Né d’un instant de créativité candide dans l’isolement des espaces perdus de l’hiver québécois, élevé dans les souterrains bruyants de Montréal, le duo, non loin des consonances des Timber Timbre, Patrick Watson et Broken Social Scene, signe des titres à la fois forts et fragiles. Des trames sonores qui transportent et rallient — un public d’ailleurs toujours plus vaste — et qui l’ont mené à partager la scène, entre autres, avec Half Moon Run, Basia Bulat, Yann Perreau et Groenland
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