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À travers une dynamique qui ne connait aucun répit, des artistes en liesse perpétuelle qui nous entrainent dans un tourbillon d’émotions, d’airs enfiévrés et d’énergie folle, ce musical de haute voltige a marqué les âmes et les esprits des spectateurs et a réussi à les téléporter dans la Beyrouth glorieuse d’antan, des années 30 à 70, une ville bouillonnante à l’avant-garde de la scène culturelle et artistique de tout le monde arabe.
Bar Farouk n’est pas seulement un spectacle qui met de l’avant le théâtre populaire et le cabaret musical de l’époque, « c’est un moment suspendu dans le temps où, à la manière des Frères Lumière et du premier cinématographe, des photos s’animent en toile de fond et font revivre la capitale libanaise. Beyrouth au temps de Sahet al-Bourj ou de Hamra la rouge, Beyrouth la trépidante et l’intrépide, à la pointe de l’aube et au crépuscule avec ses arômes, ses saveurs, son odeur qui sent bon le « sous », le « jellab » ou le narguilé. Beyrouth avec ses « abadayes » et ses femmes de petite vertu, mais aux grandes vertus. Beyrouth qu’on aime conjuguer au féminin car elle est amoureuse, joyeuse, délurée, mutine et gamine, mais également nourricière comme une femme. C’est cette ville-là qui défile en filigrane à travers des portraits musicaux et dansants. Des années rococo (années 30) aux années hippie (1970), les artistes rendent hommage aux musiciens, compositeurs, danseurs et chanteurs qui ont écrit les belles pages de l’histoire de la ville [avant la guerre civile] : Sabah, Omar el-Zeeni, Philémon Wehbé, Chouchou ou Férial Karim » (Colette Khalaf, L’Orient-Le-Jour).
Direction artistique: Hisham Jaber
Avec Yasmina Fayed, Ziad el Ahmadie, Bahaa Daou, Ziad Jaafar, Diyaa Hamza, Roy Dib, Randa Makhoul, Lina Sahhab, Ahmad el Khateeb et Bashar Farran.
En première canadienne / En diffusion exclusive pour le 21e FMA
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