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Qui représenterait mieux la créativité algérienne que ce bluesman des faubourgs parisiens qui a séduit, bouleversé et remué les consciences de plusieurs générations? Et qui saurait mieux célébrer la légende Dahman El Harrachi que son fils Kamel, digne héritier d’une tradition musicale qu’il perpétue sans répit? Le FMA rend hommage au grand Dahman, auteur de nombreux chefs-d’œuvre dont la chanson « ya rayeh », devenue un succès planétaire après sa reprise par Rachid Taha.
Avec le timbre rauque du père, la même puissance d’interprétation et cette manière unique de jouer de la mandole, Kamel est le continuateur de l’œuvre du maître incontestable du chaâbi, ce style populaire né dans les tavernes et les fumeries de la casbah d’Alger.
Dans cette double soirée où l’Algérie est à l’honneur, la quête des mémoires profondes de Kamel El Harrachi croise celle du chorégraphe Hervé Koubi. Né et élevé en France, Koubi n’apprend qu’à l’âge de 25 ans ses véritables origines algériennes. Il renoue avec son passé et conçoit une création avec douze danseurs algériens : Ce que le jour doit à la nuit allie vision contemporaine et vocabulaire métissé de capoeira et de hip-hop, donnant naissance à une œuvre éblouissante où langage tribal et tendances contemporaines se font écho.
Deux mémoires retrouvées et renouvelées dans un moment de pur bonheur offert au public, nostalgique ou curieux, pour célébrer une Algérie qui se réinvente sans cesse.
www.festivalarabe.com/main/event/dahman-el-harrachi-et-leternelle-algerie/
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