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Électron libre dans l’univers de la chanson québécoise, Guillaume Arsenault s’est forgé un style qu’il a lui-même qualifié de « pop-épique » ou de « nouvelle chanson folk-concrète-électronique ». Récemment, le Conseil des arts et des lettres du Québec lui décernait le prix à la création artistique pour la région de la Gaspésie, un honneur qui s’ajoute à de nombreux autres reçus au cours de sa carrière.
Pour son quatrième opus, Guillaume Arsenault a décidé de prendre le large et de nous en mettre plein les oreilles. Dès les premières notes, nous voici propulsés dans un univers que n’aurait pas dédaigné Ennio Morricone, à qui l’on doit les trames sonores des classiques du western-spaghetti signés Sergio Leone.
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