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Cette année, Productions Nuits d'Afrique célèbre ses 25 années d’existence sous le thème «Un quart de siècle de musique du monde!». Surveillez tout au long de la saison 2010-2011 la programmation concoctée tout spécialement pour souligner cette année anniversaire.
Après avoir écumé pendant deux ans les grandes scènes et festivals européens, la chanteuse montréalaise d’origine haïtienne, Mélissa Laveaux, revient en force pour vous faire découvrir son premier album «Camphor & Copper», sorti à la fin de l’année 2008 en Europe et présenté depuis 2010 devant le public canadien. Elle offre un concert acoustique en duo avec Gabriel Aldama (guitare et basse électrique).
L'artiste de 25 ans, née à Montréal de parents haïtiens, a grandi à Ottawa, évoluant dans un univers majoritairement anglophone sans pour autant abandonner sa culture d’origine créole et francophone. À 13 ans son père lui offre sa première guitare. C’est le début d’une passion qu’elle explore et déchiffre en autodidacte. Sa culture musicale s’agrandit au fil des années, à commencer par l'univers musical créole, la chanson française, la folk canadien (Joni Mitchell), l’influence des figures afro-américaines (Billie Holiday, Nina Simone), ainsi que de nombreuses chanteuses ayant ouvert la voie et marqué la musique, tel que Lhasa et Césaria Évora.
Sa musique lui ressemble: métissage de cultures et de langues, authenticité et une voix cassée très particulière teintée de blues et de folk. Autant d’ingrédients qui agrémentent l’univers intime rythmé et coloré de ses chansons. «Je suis capable de dire que je ne suis pas une chanteuse formatée. Avec ma musique, je n'ai pas fait de concessions, je ne suis pas un produit», annonce fièrement Mélissa Laveaux qui s’est ainsi forgée un style neuf et personnel inspiré en grande partie par les courants musicaux de la soul, du blues et du folk.
Mélissa Laveaux parle et chante en français, en anglais et en créole. «Mon choix de langue pour écrire mes chansons dépend de la personne à qui je pense lorsque je crée, mais aussi de l'émotion que j'ai envie d'exprimer à travers elles», dit-elle. Sa technique conjugue à la fois "un doigté de guitare fluide et syncopé, avec les réflexes d'une bassiste" combinée à une voix "dont le timbre rappelle celui de Macy Gray voire, par moment, celui de Rickie Lee Jones".
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