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MONSIEUR RAPH
Monsieur Raph est un vagabond franco-québécois et multi-instrumentiste. Hésitant entre la profession de scaphandrier et celle de conducteur de train, il choisit finalement de parcourir le monde avec sa valise et sa boîte à musique. Montréalais plus encore que Québécois ou Français, son conflit d’identité a l’intérêt de créer une musique singulière, intimiste et transcontinentale. Entre les vieux vinyles folk et blues nord-américains et la chanson française de son Europe natale, la musique libérée de ses bagages est résolument atlantique. Sous le signe du voyage, le projet Monsieur Raph est autant de cartes postales que d’instants de vie capturés en Polaroïd. Si les yeux sont témoins du temps qui file, les pieds suivent le rythme joyeux de la vie, les mains racontent la beauté complexe des sentiments tandis que la voix chante l’espoir.
ARIANE ZITA
Une artiste habitée par la musique depuis toujours, par l'écriture ensuite, qui intègre spontanément la créativité à tous les aspects de sa vie. Être artiste la définit. Si pour cet électron libre mettre des paroles sur des mélodies s'est toujours fait dans la solitude, elle perçoit néanmoins la scène comme un terrain de jeu où tout est possible et prend plaisir à s'entourer de musiciens talentueux. Multi-instrumentiste douée - elle joue de la guitare, du piano et du violon -, Ariane Zita est l'artisane d'une pop mélodique enveloppante. Ayant pris ses aises d'abord dans l'écriture en anglais, qui lui donnait un certain recul, elle chante désormais surtout en français, une langue qui lui permet d'adopter un ton plus intime, plus personnel.
ANATOLE
D’abord, il y eut le garçon, nommément Alexandre Martel, qui chante toujours la pomme dans les rangs de Mauves. Mais, au détour du printemps 2014, il y eut scission, divorce entre le garçon et le squelette. Le paquet d’os, nommément Anatole, loua une chambre à L.A. où il écrivit frénétiquement un paquet de chansons transpirant l’expérience urbaine américaine, la déclinant sous ses formes paranoïaques, érotiques et fugitives.
Lorsqu’il sort du placard, Anatole convie le public à une relecture théâtrale où l’expérimentation côtoie l’explosif, où les craintes que peuvent susciter l’apparition d’un squelette articulé croisent le fer avec la poésie d’une vie sans cesse recherchée, sans cesse dénichée en creux dans le mouvement puisque, sous les feux de la rampe, il faut bien se brasser l’ossature.
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