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Né en 2012 entre les murs d’un bar de Québec, Velvet Black est le fruit de circonstances plus ou moins vaporeuses, à la frontière du rock et d’un âge adulte qui débute. Leur premier album, Orleans, lancé en 2016, ne tarde pas à s’attirer de nombreuses accolades de la part des médias locaux et des stations commerciales du Québec et de l’Ontario. «Everything is Alright», l’un des quatre extraits issus de ce long jeu, atteint d’ailleurs la dixième position du palmarès BDS. Le groupe agence ainsi le blues, le country, le rock et la pop pour en faire un collage qui sonne.
Des petites, moyennes, jusqu’aux grandes scènes — comme celles du Festival d’été de Québec et de la Canadian Music Week —, c’est en parcourant avec énergie le Canada et les États- Unis que le groupe se fait les dents, notamment en ouverture de Glorious Sons (2017) et de Bryan Adams (2018). Les gars sont aujourd’hui de la garde rapprochée de l’artiste québécois Rick Pagano, non seulement à titre de première partie, mais aussi comme musiciens accompagnateurs. Depuis la fin de 2019, Velvet Black travaille sans relâche, entouré des producteurs/compositeurs Ken Presse (The Franklin Electric) et Mario Telaro (Bobby Bazini) ainsi que de l’ingénieur du son Nick Roberge (lauréat de deux prix Junos), à forger sa proposition renouvelée. Grondante et accrocheuse, on y sent l’expérience qui rentre sans que se perde le son, séduisant, des premiers jours. La nouvelle chanson «Hey Momma», avec ses effluves psychédéliques, donnera le coup d’envoi à la suite attendue, et prenant la forme d’un EP, dès l’automne 2020.
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