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IMPORTANT: Pièce en anglais avec sous-titres en français. |
Retardataires Non-admis.
Admission Générale.
Aucun remboursement.
Dans le monologue Drugs kept me alive, Jan Fabre met en scène un personnage à la lisière de la vie. À mesure qu’il se rapproche de la mort, il lui faut davantage de pilules et de poudres. Ses complices sont l’ecstasy, les poppers, les amphés et la coke. Il est à tout moment en quête du vertige éternel. Mais même s’il est face à la mort, il s’accroche à la vie et continue de chercher de nouvelles façons de tromper la faucheuse. Il explore toutes les voies, orientant sa boussole à tout moment vers les raccourcis entre ciel et enfer. La vitesse est son arme et l’humour, son remède. Planant sur son dirigeable de l’extase, il choisit lui-même les mirages qui lui semblent attirants, voire qui l’emplissent d'un profond bonheur.
La pièce regorge de contradictions et de paradoxes : des pilules pour survivre et des pilules pour l’ivresse et la vie entre euphorie et abîme. Jan Fabre a écrit Drugs kept me alive pour Tony Rizzi, un danseur et performeur américain qui a longtemps fait partie du Ballett Frankfurt, sous la houlette du chorégraphe William Forsythe. C'est à cette époque qu’il a rencontré Jan Fabre, avec qui il a déjà collaboré à plusieurs reprises, entre autres pour Da un altra faccia del tempo, Glowing Icons, Histoire des larmes et Orgy of tolerance.
Texte, mise en scène, scénographie
Jan Fabre
Interprétation
Antony Rizzi
Dramaturgie
Miet Martens
Musique
Dimitri Brusselmans
Costume
Andrea Kränzlin
Une présentation La Chapelle.
Une production Troubleyn / Jan Fabre en coproduction avec Maribor 2012 (European Capital of Culture - SI).
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