Inscrivez-vous
Des offres exclusives et événements gratuits
Deux courtes pièces, un seul univers: un flot de paroles sans ponctuation à cheval entre poésie et spoken-word, des personnages qui n’ont pas les mots «sacrament», les années 1990, le bruit de la ville, la perte de repère, la solitude.
En Attendant Gaudreault
Montréal, quelque part entre la mort de Marie-Soleil Tougas et le bogue de l’an 2000. William le junkie, Monique l’amoureuse enfermée et Dédé le petit de la construction attendent tous Gaudreault. Mais Gaudreault n’arrivera jamais. Continuer ou arrêter de l’attendre? Espérer ou tout laisser tomber?
Fiévreux, tout d'un trait, rythmé comme un poème de Ginsberg genre Moloch, avec un petit twist «spoken word», un beat urbain, un «here and now» existentialiste fébrile, là, présent, palpitant, buzzant: un rendu transique, en osmose possédée par le fiévreux récit de cette soirée, avec déconstruction en jump cut de ces trois trajectoires tordues qui se croisent aux détours des bas fonds.
Yves Rousseau – Le Quatrième, juin 2008
Ta Yeule Kathleen
Il y a deux mois, Lynn la monoparentale a accouché de Kathleen le bébé. Kathleen pleure sans cesse et c’est insupportable. N’en pouvant déjà plus d’être mère à la maison, Lynn fera tout ce qu’elle peut pour sortir de son deux et demi, le temps d’une soirée, gardienne ou pas.
Vous devez être connecté pour donner un avis.
Connectez-vous ici.