Inscrivez-vous
Des offres exclusives et événements gratuits
On a remarqué que vous utilisez un bloqueur de publicité.
Les publicités sont un soutien essentiel pour un média culturel indépendant comme atuvu.ca.
Elles nous permettent de :
Si vous pouviez désactiver votre bloqueur de publicité pour atuvu.ca, ce serait vraiment apprécié et ça contribue directement à la vitalité de notre média et de notre communauté.
Merci pour votre soutien !
L’équipe atuvu.ca
Admission générale.
Dans le cadre de la saison 2012-2013 "De nos maux... les meilleurs!", POSTHUME ressuscite un auteur éternel avec le chef d'oeuvre "Le malade imaginaire" de Molière.
Nous sommes à la fin du 17e siècle, la médecine profite aux médecins, et les malades sont tributaires des décisions de ces derniers, car selon les malades, seuls les médecins savent guérir… Quatre siècles plus tard, avons-nous tellement évolué ?
Nous sommes tous, un jour ou l’autre, victimes de gens en position de force face à nous. Notre jugement s’efface et notre dépendance fait de nous des appâts de choix pour tous les profiteurs. Argan est une excellente victime, et qui plus est, il est riche, et croit qu’avec ses avoirs il pourra acheter sa santé envolée. Ses proches, les vrais, auront fort à faire pour le convaincre du contraire.
Le Malade Imaginaire, c’est le chant du cygne de Molière. Sa santé précaire aura raison de lui; et c’est après la quatrième représentation de la pièce que Jean-Baptiste Poquelin, fils de tapissier et fondateur de l’Illustre-Théâtre, s’éteindra le 17 février 1673, il y a 340 ans de cela…
Malgré les siècles Molière nous donne encore à réfléchir, mais surtout: à rire de nos propres travers d’humains.
Si le lecteur intégré ne s’affiche pas, vous pouvez ouvrir le magazine dans un nouvel onglet.
Vous devez être connecté pour donner un avis.
Connectez-vous ici.