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Jocelyne Montpetit poursuit, dans la continuité de Faune, sa recherche d'une métaphysique de l'espace. Nuit_Nacht_Notte… Nuit interne, nuit du dehors, nuit utérine, nuit sexuelle. Le corps, empli de songes, se laisse traverser par la mémoire, mais aussi par le mystère de la Grande Nuit, celle qu'on craint parce qu'on la sait inévitable, inexorable. « L'homme a peur de la mort comme les enfants ont peur de la nuit. » Imprégnée de la troublante atmosphère qu'on trouve chez les grands maîtres du clair-obscur, l'interprète pénètre différentes nuits : la sienne bien évidemment, mais aussi celles d'écrivains tels que Rilke, Pessoa ou T. S. Eliot dont les textes interprétés par l'acteur italien Francesco Capitano viennent traverser la scène comme en écho. Exploration de nuits qui frôlent le néant. Exploration des songes qui habitent ces nuits. Mais, aussi, lumineuse descente dans la nuit de tous les hommes.
Faune est vraiment un moment très touchant, intime, hors du temps. - Stéphanie Brody, La Presse, 2008
C'est certainement (Faune) la plus théâtrale des pièces de Jocelyne Montpetit et l'une des plus réussies de la dernière décennie. Son solo Faune est habité par l'esprit tourmenté de Vaslav Nijinski, transposé dans un corps de femme. - Frédérique Doyon, Le Devoir, 2008
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