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« De la noirceur provient un vent froid qui écrase le corps et des ombres prophétiques qui transforment ce qui n’est pas continu. Une communauté anonyme. Révélons le Tūāhu; l’espace rituel de l’inconnu. » – Charles Koroneho
Dans le langage maori, « pure » signifie l’incantation dont l’action consiste à « relâcher » des éléments dangereux et à « lier » des éléments bénéfiques. Performance interdisciplinaire qui embrasse le rituel du Tohunga/shaman, Pure (2013) se déploie dans l’aube du mystère. Corps rituel, corps narrateur s’enveloppe de mythes et de légendes ancestrales. Culture bouleversée devenue anonyme. La chorégraphie de Charles Koroneho se fait offrande Tūāhu dans un théâtre de la transgression, dans un cycle de transformation perpétuel. Intemporel.
Artiste multiforme, le Néozélandais Charles Koroneho partage sa vision avec la compagnie IndependANCE. Artiste associé à la compagnie MAU et son chorégraphe samoane Lemi Ponifasio, il travaille également en collaboration avec le performeur mexicain Guillermo Gomez-Pena et le chorégraphe notoire Min Tanaka. Politiques, surréalistes ou investies d’une ironie mordante, les œuvres de Koroneho affirment avec éloquence la culture maorie comme son satyrique Cultistic Misfit. Depuis 25 ans, sa pratique performative a donné lieu à divers projets, dont le TūāHU Choreographic Research, une plate-forme qui propose un espace philosophique pour les danses indigènes.
« Most stirring, however, was a memorable performance by Charles Koroneho that left the audience smiling, laughing and irrevocably moved. » – The Lumière Reader
Primeur québécoise
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