Inscrivez-vous
Des offres exclusives et événements gratuits
On a remarqué que vous utilisez un bloqueur de publicité.
Les publicités sont un soutien essentiel pour un média culturel indépendant comme atuvu.ca.
Elles nous permettent de :
Si vous pouviez désactiver votre bloqueur de publicité pour atuvu.ca, ce serait vraiment apprécié et ça contribue directement à la vitalité de notre média et de notre communauté.
Merci pour votre soutien !
L’équipe atuvu.ca
La série de textes Poésie quotidien présente des sujets prosaïques avec une teinte poétique.
Je viens de lire, que Marie Kondo vient enfin de trouver la façon de ne plus être obsédée par le rangement. Tout simple. Elle va dorénavant s'occuper de ses trois enfants. Elle vient de réaliser que c'était plus essentiel. Bravo Marie! Et non ce n’est pas une «Fake news»
Cette nouvelle m’a rappelé que j'avais très mal réagi lorsqu'une copine m’a convaincu d'expérimenter la méthode Marie Kondo dans le but d’alléger ma vie .
Cette méthode est un peu le principe de la lampe d’Aladin. On regarde , frotte et s'interroge sur chaque objet que l’on possède. Ainsi, selon la réponse, on renonce ou conserve nos choses, pour ensuite les classer et ranger d’une façon qui exclut les daltoniens. Mais curieusement, les aveugles y arrivent simplement au toucher. Pour le coup, ce que j’ai découvert en expérimentant la méthode «KonMari», c’est qu’elle m’a plongé entièrement dans l’anthropomorphisme. Ce qui a eu pour bienfait le temps que je faisais le tri, de me soulager de ce terrible fléau qu’est la solitude.
Malheureusement, lorsque j’ai fait l'essai de la «KonMari», un vieux réflexe d’excessif a ressurgi chez moi et a tout bousillé. Plus je me débarrassais d'articles et mieux je me portais. J’ai alors logiquement tout jeté d’un trait, afin d’être parfaitement bien. Mal m’en prit, car je me suis retrouvé sans objet à qui parler.
J’ai tenté de me consoler, en me disant que la solitude était souvent le prix à payer pour la liberté. Je me suis vite aperçu, que de ne plus rien avoir n’était pas suffisant pour me sentir libre. Je devais en arriver à accepter de ne pas me posséder moi-même. Et j’y suis arrivé; mais découragé, car cela n'a rien changé.
Un dimanche matin, grelottant assis nu dans un coin de mon grand loft humide et vide. Désabusé et pestant contre Marie Kondo, j’ai soudainement réalisé que ma quête de liberté était vaine. Car même à rien on y tient.
https://www.youtube.com/watch?v=FdkD6QJPwKM
Du 10 septembre au 22 octobre 2025, le Théâtre du Palais municipal de Saguenay accueille Légendes du...
Voir l'article >L’heure de la rentrée culturelle a sonné dans tout le Québec ! Les prochaines semaines seront le pré...
Voir l'article >En librairie dès le 3 septembre prochain, Pourquoi votre chat a toujours raison, écrit par Daniel Fi...
Voir l'article >Le Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens (PACC) a annoncé ce mardi 26 août les noms des neu...
Voir l'article >La première soirée de la série A/VISIONS se déroulait au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, v...
Voir l'article >Chers parents et éducateurs, ce qui suit est pour vous. À la recherche d'un livre intelligent et cap...
Voir l'article >