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La série de textes Poésie du quotidien présente des sujets prosaïques avec une teinte poétique.
Je prends de plus en plus conscience que la guerre est partout. N’importe où! Et en permanence dans la biosphère. On ratisse notre ordi. On utilise nos cartes de crédit, notre identité et notre esprit. Tout le monde se bagarre tout le temps. Soit que l’on se fasse tuer sur le coup (Ukraine, Palestine, féminicide, etc.). Ou que l’on meurt à petit feu toute notre vie durant au fil des tremblements.
Et il y a « le grand affrontement. » qui s’amène. Celui qui est sans quartiers et qui laisse tant d’êtres brisés: « Les Jeux olympiques. » Voir la cérémonie d’ouverture, avec toutes ces délégations, menées fièrement par chaque porte-drapeau de ces 206 pays, qui ont investi une fortune dans ces athlètes, qui seront prêts à suer sang et eau pour leur drapeau, dans leur quête de médailles. Ça, c’est de la guerre, ma chère!
Enfin, il y a, tous ces fourbes que l’on croise de plus en plus, qui prêchent pour la paix, lorsque la victoire n’est plus à leur portée. Et subrepticement, ils ressortent la célèbre phrase du baron : « Le plus important dans la vie, n’est pas de gagner, mais de participer. » Et tout cela me donne « La nausée. » Et subrepticement, je ressors la célèbre phrase du mari de Simone de Beauvoir: « l’enfer, c’est les autres. »
https://www.youtube.com/watch?v=cZfDRQ_kKOw