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Alexandra Stréliski et son orchestre débarquaient à la Maison symphonique de la Place des Arts pour non pas un, mais bien deux très attendus concerts affichant complet les 2 et 3 juillet. Survol du premier soir de Néo-Romance orchestrale, frissons garantis!
La sympathique pianiste de Montréal, récipiendaire de deux Félix, également nominée aux prix Juno et aux prix de musique Polaris, en a ému plus d’un avec une phénoménale performance en compagnie de son orchestre. Ce dernier, principalement composé de figures féminines, a ouvert le spectacle sans Stréliski, le temps d’une courte pièce.

L’entrée en scène de la chouchoute d’Apple Music et de Spotify s’est faite sous une horde d’applaudissements et de cris de joie. Dès les premières notes de piano, l’auditoire a été ébranlé par la beauté de la proposition. Les musiciens ont enchaîné plusieurs pièces issues des albums INSCAPE (2018) et Néo-Romance (2023), dont l’exceptionnelle Plus tôt. La qualité et la sensibilité du jeu bouleversaient. Les sons happaient de plein fouet les spectateurs absorbés, certains allant même jusqu’à verser une larme ou deux face à tant de poésie musicale.
Stréliski alternait entre deux pianos, frappant du pied avec vigueur. Nous avons également pu profiter d’un bref arrêt à l’orgue gigantesque ornant l’arrière de la scène, ainsi que d’une interprétation bien spéciale d’une chanson composée par l’artiste lorsqu’elle avait 14 ans. Cette dernière a introduit la pièce de façon ludique, se dandinant en souriant, debout derrière un xylophone. Une longue ovation a suivi la fin de l'évènement d’environ une heure et demie, menant à la sortie de l’équipe.
La pianiste est revenue seule sur scène pour un rappel de deux chansons, qu’elle a entamé visiblement touchée, en lançant son veston au sol en riant : «Wow! J’ai chaud guys!». Le public, les yeux brillants, s’est laissé bercé par le spectacle jusqu’à l’écho de la toute dernière note.

Alexandra Stréliski a parsemé le concert de toutes sortes d’anecdotes en lien avec son parcours et son art. Citant notre grand Leonard Cohen, la compositrice a évoqué la petite zone de fragilité si précaire que nous rencontrons parfois et qu’il est difficile d’accepter : «There is a crack, a crack in everything. That's how the light gets in». La musique live de la pianiste nous a fait vivre, nous a nourris et a pansé nos maux.
Retrouvez toute notre couverture du Festival International de Jazz de Montréal sur ce lien.
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