Inscrivez-vous
Des offres exclusives et événements gratuits
On a remarqué que vous utilisez un bloqueur de publicité.
Les publicités sont un soutien essentiel pour un média culturel indépendant comme atuvu.ca.
Elles nous permettent de :
Si vous pouviez désactiver votre bloqueur de publicité pour atuvu.ca, ce serait vraiment apprécié et ça contribue directement à la vitalité de notre média et de notre communauté.
Merci pour votre soutien !
L’équipe atuvu.ca
Le 2 juillet 2024, la Salle Wilfrid-Pelletier a accueilli à l’occasion du Festival International de Jazz de Montréal, une performance surprenante de Norah Jones. On connaissait déjà la présence douce et captivante de la chanteuse sur scène, mais on connaissait moins ce côté rythmé et groovy que l’artiste a laissé transparaître devant un public conquis.
Dès son entrée sur scène, Norah Jones a été accueillie pour son premier des deux concerts à guichets fermés qu’elle tiendra cette année par une ovation enthousiaste d’une salle comble.
Accompagnée d'un groupe de musiciens talentueux (nous avons reconnu notamment l’illustre Brian Blade à la batterie), Jones a entamé son set avec What Am I to you?, plongeant immédiatement la salle dans une ambiance feutrée et nostalgique qui a suscité des applaudissements nourris et une émotion palpable dans la salle. Du Norah Jones classique pensait-on jusqu’à cet instant-là: un concert bien tenu, doux, chaleureux, mais sans grande effusion et tout en contrôle parfois à limite de l’ennuyant…

Mais, la surprise est venue juste après l'interprétation du classique Sunrise: une succession de chansons tirées de son dernier album Visions sorti cette année et qui d’ores et déjà annonçait ce virage beaucoup plus groovy et rythmé qu’est en train d’explorer la chanteuse. Jones, tranchant avec sa présence scénique habituelle tout en discrétion derrière son piano, s'est mise au-devant de la scène debout devant un piano électrique et s’est complètement lâchée au niveau de l’attitude et des mouvements corporels: on n’avait jamais vu Norah Jones autant se libérer sur scène.
Preuve en est, une boule disco (oui, oui!) a même été déployée à ce moment au-dessus de la chanteuse pendant qu’elle interprétait le titre I just wanna dance. Les jeux de lumière subtils et les arrangements scéniques épurés ont mis en valeur la musique sans la distraire, permettant à Norah Jones de se (re)découvrir une nouvelle manière de connecter avec son public.

Un moment particulièrement mémorable fut son interprétation de l’autre grand classique Come away with me suivi de Carry On, où la fusion de sa voix et du piano a créé une atmosphère presque mystique, suscitant une émotion palpable dans toute la salle. Les réactions du public, oscillant entre le silence respectueux et les applaudissements enthousiastes allant jusqu’au tapotement des pieds parfois, ont témoigné de l'impact profond de sa performance.
La soirée s'est achevée sur une note de gratitude, Norah Jones remerciant chaleureusement le public montréalais pour son accueil et son soutien. Les ovations finales, prolongées et sincères, ont été la preuve du succès incontesté de la Norah Jones nouvelle version en concert! Retrouvez toute notre couverture du Festival International de Jazz de Montréal sur ce lien.
Du 10 septembre au 22 octobre 2025, le Théâtre du Palais municipal de Saguenay accueille Légendes du...
Voir l'article >Le Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens (PACC) a annoncé ce mardi 26 août les noms des neu...
Voir l'article >Le Festival Quartiers Danses (FQD) revient pour une 23e édition présentée par Québecor avec des prop...
Voir l'article >Une 31e édition se profile pour le Festival international de la littérature (FIL) qui a procédé au d...
Voir l'article >Chers parents et éducateurs, ce qui suit est pour vous. À la recherche d'un livre intelligent et cap...
Voir l'article >La première soirée de la série A/VISIONS se déroulait au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, v...
Voir l'article >