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Elles sont des milliers, assassinées par leurs maris, ex-maris, petits amis, fiancés. Tuées par des hommes. En moyenne deux femmes sont assassinées chaque semaine en Espagne. Partant de cette macabre statistique, Agnés Mateus et Quim Tarrida tentent de secouer leur immobilité et la nôtre face à cette révoltante violence domestique et sociétale. Rebota Rebota y en tu cara explota (Ça rebondit, ça rebondit et ça t’éclate en pleine face) s’attaque non seulement aux féminicides mais démonte également les stéréotypes attribués aux rôles féminins dans le théâtre et au cinéma. Objectif : combattre l’indifférence et pousser un cri d’alarme.
Sur un plateau à l’esthétique néo pop, Agnés Mateus seule en scène, dans son pantalon pailleté, scande les insultes que subissent les femmes au son d’une musique techno assourdissante. Puisant dans sa propre rage, elle livre une performance au tempo infatigable au service d’une dénonciation nécessaire. Une dénonciation nécessaire dans le monde entier.
Cette pièce, créée à Barcelone en 2017 a eu un impact considérable dans de nombreux pays. Son sujet, malheureusement universel, le féminicide, est abordé sans détour, avec force et intelligence en s'appuyant sur un humour percurtant.
Cri de rage à La Chapelle | Rebota, Rebota, y en tu cara exploda
Le cri de révolte scandé par Agnés Mateus pourra être entendu du 3 au 8 novembre sur le plateau de La Chapelle Scènes Contemporaines. Co-écrit avec Quim Tarrida, la performance Rebota, Rebota, y en tu Cara Exploda déplore la passivité de notre société face aux féminicides.
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