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Seule en scène, Marie Thomas est Sol. Sans le moindre artifice, à la seule force de son talent la voilà qui fait revivre le clown philosophe québécois. Simple, sincère. Vraie.
Karine Prost, RUE DU THÉÂTRE
Ce qui fait de Marie Thomas une exception ne se nomme pas aisément mais cela saute aux yeux et saisit le cœur. C’est quelque chose comme l’alliance de l’intensité et de la fragilité, une puissance dramatique qui est sans doute cette « disposition aux larmes qui s’exprime par une avalanche intérieure » dont parle Cioran qui précise : « Larmes et non pleurs ». Un vertige d’humanité donc.
Jean-Pierre SIMÉON
Marie Thomas, comédienne immense et modeste. Les plumes de notre chapeau balaient le sol devant Michel Bruzat. Sa mise en scène nous livre sur un plateau étoilé l’un des textes les plus drôles, les plus émouvants, sur la vie en général, la condition de l’acteur et… son regard sur le public !
Anne Camboulives, VAUCLUSE matin
Marie Thomas, son grand manteau et sa fleur à la main, est inoubliable. Sa naïveté et sa jubilation de jeu sont un régal et la comédienne porte avec la plus grande simplicité les mots essentiels de Marc Favreau. Attendrissante et stupéfiante de générosité, dirigée comme toujours avec une sobriété exemplaire par Michel Bruzat, elle ressuscite le grand Sol avec une émotion infinie. On ne peut pas passer à côté de ce moment de bonheur.
Nicolas Arnstam, FROGGY’S DELIGHT
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