Sometime between now and when the sun goes Supernova est la base d’un support de développement d’un langage scénique multidisciplinaire et hétérogène, scannant la conscience d’une société contemporaine en devenir. Au départ, une interrogation, celle de l’usage grandissant des technologies dans nos sociétés, et quels changements cela suppose dans nos comportements et notre rapport au monde. 

Présences, corps incarnés et consciences fantômes défilent et dans un espace temps situé entre maintenant et avant que le soleil ne devienne une « Super Nova ».Dans cet univers, la notion du connu et de l’étrange se côtoient, comme dans le paysage d’un cerveau humain... 

Les corps de ses acteurs sont piégés dans les vestiges des décors abandonnés d’un plateau d’un film d’horreur de série B, ou bien d’un film pornographique, et bien étrangement, ce lieu pourrait ressembler à notre propre maison. Dans cet endroit entre l’après et l’avant, la perte de mémoire côtoie la psychose, ainsi que les dernières convulsions d’une société consumériste. 

Ce spectacle bilingue est rendu possible grâce au soutien de la Mairie de Paris, de l'Institut Français, du Conseil des Arts du Canada et Alberta Foundation for the Arts. 

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Sometime between now and when the sun goes Supernova is an inquest, one that investigates manifestations of personal isolation in an increasingly connected globalized world. “The performers are caught on the soundstage of a B-horror movie or a pornographic film; yet the setting could be a suburban home. Amnesia flirts with psychosis in a world where we feel the convulsions of a hyperactive, digital, consumer society." 

Création: Mark Lawes 

Avec Luc Bouchard-Boissonneault, Mark Lawes, Melina Stinson et Raphaële Thiriet 

Textes: Mark Lawes et Raphaële Thiriet 

Musique: composition Chris Dadge / interprétation Arran Fisher 

Création sonore: Phil Cimolaï 

Création vidéo: Alexandre Mehring 

Projection Vidéo et éclairages: Wladimiro A. Woyno 

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